LE NOMBRE D'OR
Cette règle est une proportion provenant d’un calcul mathématique qui se décline et se transpose par des formes géométriques telles que le rectangle, le pentagone (polygone à 5 sommets) et le triangle. Il est censé représenter une harmonie divine. Il a été appliqué par les égyptiens dans la construction des grandes pyramides et les tombeaux des pharaons.
Avec le temps plusieurs règles de proportion ont été établies représentant ce nombre d’or. Parmi celles-ci, la spirale de Fibonacci (série de nombres dans laquelle le nombre suivant est la somme des deux nombres précédents : 0, 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, 34, 55, 89, 144…, l’homme vitruvien (les bras en croix) de Vitruve (26 av. J.C), celui de Léonard de Vinci (1452-1519) et le Modulor de Le Corbusier (1887-1965).
Les artistes pour la création de leurs œuvres, se réfèrent à ce nombre d’or que ce soit sous forme d’art, de peinture, de photographie, de musique ou d’architecture.
Ces formes se retrouvent partout, autour de nous, dans la nature. On peut citer comme exemples : la pomme de pin, les spirales du bulot, la coquille d’escargot, la fleur de tournesol, les ammonites, la croissance des roses, etc…
Cette règle est une proportion provenant d’un calcul mathématique qui se décline et se transpose par des formes géométriques telles que le rectangle, le pentagone (polygone à 5 sommets) et le triangle. Il est censé représenter une harmonie divine. Il a été appliqué par les égyptiens dans la construction des grandes pyramides et les tombeaux des pharaons.
Avec le temps plusieurs règles de proportion ont été établies représentant ce nombre d’or. Parmi celles-ci, la spirale de Fibonacci (série de nombres dans laquelle le nombre suivant est la somme des deux nombres précédents : 0, 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, 34, 55, 89, 144…, l’homme vitruvien (les bras en croix) de Vitruve (26 av. J.C), celui de Léonard de Vinci (1452-1519) et le Modulor de Le Corbusier (1887-1965).
Les artistes pour la création de leurs œuvres, se réfèrent à ce nombre d’or que ce soit sous forme d’art, de peinture, de photographie, de musique ou d’architecture.
Ces formes se retrouvent partout, autour de nous, dans la nature. On peut citer comme exemples : la pomme de pin, les spirales du bulot, la coquille d’escargot, la fleur de tournesol, les ammonites, la croissance des roses, etc…
LE MODULOR
Le Corbusier créé le Modulor en 1948. Cet outil permet de définir une échelle unique et universelle qui ne se réfère pas au système métrique ou au système de pieds et de pouces. C’est un outil de mesure de la stature humaine et de la mathématique. Il est conçu pour créer un espace fonctionnel et optimisé pour l’homme, faisant de la maison une « machine à habiter » sans pour autant atténuer sa volonté de créer de l’espace, de la lumière et/ou de la végétation.
Un logis créé avec les dimensions Modulor a pour but de procurer un sentiment de bien-être et de confort à son occupant. Le Modulor s’applique non seulement aux dimensions de la maison mais aussi aux dimensions des meubles.
Les origines du Modulor
Avant de concevoir le Modulor, Le Corbusier a utilisé le principe du tracé régulateur pour déterminer les proportions de ses bâtiments. La méthode du tracé régulateur, pour déterminer les proportions d’un bâtiment, se base sur l’utilisation théorique de triangles rectangles. En effet ceux-ci permettent, selon lui, de trouver une hauteur et une largeur dont la beauté doit pouvoir être visible à l’œil nu, contrairement à certaines proportions qui auraient pu être choisies arbitrairement ou intuitivement :
Le « tracé régulateur » est une satisfaction d’ordre spirituel qui conduit à la recherche de rapports ingénieux et harmonieux. Il confère à l’œuvre l’eurythmie (agencement harmonieux et régulier).
Parmi les œuvres construites à l’aide du « tracé régulateur », on trouve peu d'édifices historiques majeurs. On a pu néanmoins citer les palais du Capitole à Rome de par sa forme exceptionnelle (avec des réserves sur l’interprétation des bases analytiques des modules choisis) ou encore le Petit Trianon de Versailles.
Le Corbusier créé le Modulor en 1948. Cet outil permet de définir une échelle unique et universelle qui ne se réfère pas au système métrique ou au système de pieds et de pouces. C’est un outil de mesure de la stature humaine et de la mathématique. Il est conçu pour créer un espace fonctionnel et optimisé pour l’homme, faisant de la maison une « machine à habiter » sans pour autant atténuer sa volonté de créer de l’espace, de la lumière et/ou de la végétation.
Un logis créé avec les dimensions Modulor a pour but de procurer un sentiment de bien-être et de confort à son occupant. Le Modulor s’applique non seulement aux dimensions de la maison mais aussi aux dimensions des meubles.
Les origines du Modulor
Avant de concevoir le Modulor, Le Corbusier a utilisé le principe du tracé régulateur pour déterminer les proportions de ses bâtiments. La méthode du tracé régulateur, pour déterminer les proportions d’un bâtiment, se base sur l’utilisation théorique de triangles rectangles. En effet ceux-ci permettent, selon lui, de trouver une hauteur et une largeur dont la beauté doit pouvoir être visible à l’œil nu, contrairement à certaines proportions qui auraient pu être choisies arbitrairement ou intuitivement :
- « un tracé régulateur » construit et satisfait.
- « un module » mesure et unifie,
Le « tracé régulateur » est une satisfaction d’ordre spirituel qui conduit à la recherche de rapports ingénieux et harmonieux. Il confère à l’œuvre l’eurythmie (agencement harmonieux et régulier).
Parmi les œuvres construites à l’aide du « tracé régulateur », on trouve peu d'édifices historiques majeurs. On a pu néanmoins citer les palais du Capitole à Rome de par sa forme exceptionnelle (avec des réserves sur l’interprétation des bases analytiques des modules choisis) ou encore le Petit Trianon de Versailles.
Le Corbusier a utilisé cet outil pour dessiner les maisons suivantes :
- la Villa pour Anatole Schwob à La Chaux-de-de-Fonds, sa ville natale en suisse (1917/1918),
- la maison pour Amédée Ozenfant à Paris 14 (1922/1924), peintre, avec qui il fonde la revue l’Esprit nouveau, ;
- les maisons La Roche-Jeanneret à Paris (1923/1925),
- le couvent Sainte-Marie de La Tourette à Eveux (1959) dans le Rhône.
De plus, Le Corbusier a non seulement utilisé « le tracé régulateur » pour l’architecture, mais également pour la peinture. Ainsi, ses toiles et ont été composées selon ce même principe.
"Guitare, pile d’assiettes et lanterne" (1920)
"La Bouteille de vin orange" (1922)