STOP n°12
L'ANCIENNE GENDARMERIE NATIONALE
La gendarmerie est la force armée chargée de missions de police parmi les populations civiles d'un pays. Les membres de ce corps sont appelés soldats de la loi, ou gendarmes, de l'ancien français "gens d'armes". Le terme "maréchaussée" est plus rarement utilisé.
Auparavant, la gendarmerie était située au 91 route de Bordeaux. A partir de 1892, M. Léonard Lacaton, maçon à Vaugneray, construisit ce bâtiment sur un terrain lui appartenant, et qu'il loua à la gendarmerie. Les loyers devenant trop élevés, les gendarmes quittèrent ce bâtiment en 1938. La brigade, alors formée de sept gendarmes s'installa, dans des conditions précaires dans le quartier de la Déserte. Cette caserne, qui n'en avait que le nom, comprenait un réduit servant de bureau, deux logements et un hangar non fermé pour garage. Les cinq autres gendarmes étaient logés chez des habitants, aux quatre coins du village.
Le Conseil municipal, à la demande de la direction de la gendarmerie, avait envisagé la construction d'une caserne. En 1939, le Conseil municipal décida l'acquisition de ce bâtiment, mais la guerre stoppa net le projet. Ce n'est qu'en 1948, grâce à l'action persévérante de M. Armand Haour, maire, que les contacts se firent avec M. Frédéric, époux de Marie-Pierrette Lacaton, héritière, pour l'achat de ce bâtiment, qui deviendra "la gendarmerie".
En 1979, une nouvelle gendarmerie fut construite rue des Écoles, et ce bâtiment fut transformé en appartements.
L'ANCIENNE GENDARMERIE NATIONALE
La gendarmerie est la force armée chargée de missions de police parmi les populations civiles d'un pays. Les membres de ce corps sont appelés soldats de la loi, ou gendarmes, de l'ancien français "gens d'armes". Le terme "maréchaussée" est plus rarement utilisé.
Auparavant, la gendarmerie était située au 91 route de Bordeaux. A partir de 1892, M. Léonard Lacaton, maçon à Vaugneray, construisit ce bâtiment sur un terrain lui appartenant, et qu'il loua à la gendarmerie. Les loyers devenant trop élevés, les gendarmes quittèrent ce bâtiment en 1938. La brigade, alors formée de sept gendarmes s'installa, dans des conditions précaires dans le quartier de la Déserte. Cette caserne, qui n'en avait que le nom, comprenait un réduit servant de bureau, deux logements et un hangar non fermé pour garage. Les cinq autres gendarmes étaient logés chez des habitants, aux quatre coins du village.
Le Conseil municipal, à la demande de la direction de la gendarmerie, avait envisagé la construction d'une caserne. En 1939, le Conseil municipal décida l'acquisition de ce bâtiment, mais la guerre stoppa net le projet. Ce n'est qu'en 1948, grâce à l'action persévérante de M. Armand Haour, maire, que les contacts se firent avec M. Frédéric, époux de Marie-Pierrette Lacaton, héritière, pour l'achat de ce bâtiment, qui deviendra "la gendarmerie".
En 1979, une nouvelle gendarmerie fut construite rue des Écoles, et ce bâtiment fut transformé en appartements.