STOP N° 6
LES MÉGALYTHES
« Cet édifice est incontestablement un mégalithe, puisque c’est ainsi et d’une manière générique que les archéologues du préhistorique ont qualifié les dolmens, ou plutôt les pierres sauvages bizarrement arrangées les unes sur les autres… » (extrait de « Archéologie préhistorique - La pierre des fées par F. GABUT - 1896).
Le mot mégalithe vient du grec ancien "megas" (grand) et "lithos" (pierre). Ces ouvrages sont constitués d'une ou plusieurs pierres de grande dimension, érigées ou levées par les hommes à l'époque préhistorique, sans l'aide de mortier ou de ciment pour fixer la structure. Le mégalithisme en Europe se manifeste de 5000 à 2000 ans avant J.-C.
Dolmens et menhirs sont les monuments emblématiques du mégalithisme européen. Construits pour la plupart entre le 5ème et le 4ème millénaire avant J.-C., au moment où l'agriculture et l'élevage se développent dans l’Europe néolithique. Ils sont l'œuvre des agriculteurs et éleveurs ayant vécu dans cette région durant cette phase du Néolithique. Ils sont parmi les tout premiers monuments du continent. S'ils semblent défier l'éternité, l'état dans lequel ils sont parvenus jusqu'à nous est souvent très éloigné de leur apparence d'origine.
Les grandes dalles assemblées des dolmens représentent les squelettes de tombeaux souvent très élaborés, théâtres de cérémonies funéraires, de vénération ou d'autres pratiques complexes et parfois encore mal identifiées. Un grand nombre de pierres levées, menhirs et stèles aujourd'hui isolés, ne sont que les restes de dispositifs beaucoup plus vastes à la signification encore incertaine.
Les géobiologistes auraient relevé des phénomènes électromagnétiques sous les ouvrages mégalithiques, ainsi que des croisements de courants d’eau, et des failles.
LES MÉGALYTHES
« Cet édifice est incontestablement un mégalithe, puisque c’est ainsi et d’une manière générique que les archéologues du préhistorique ont qualifié les dolmens, ou plutôt les pierres sauvages bizarrement arrangées les unes sur les autres… » (extrait de « Archéologie préhistorique - La pierre des fées par F. GABUT - 1896).
Le mot mégalithe vient du grec ancien "megas" (grand) et "lithos" (pierre). Ces ouvrages sont constitués d'une ou plusieurs pierres de grande dimension, érigées ou levées par les hommes à l'époque préhistorique, sans l'aide de mortier ou de ciment pour fixer la structure. Le mégalithisme en Europe se manifeste de 5000 à 2000 ans avant J.-C.
Dolmens et menhirs sont les monuments emblématiques du mégalithisme européen. Construits pour la plupart entre le 5ème et le 4ème millénaire avant J.-C., au moment où l'agriculture et l'élevage se développent dans l’Europe néolithique. Ils sont l'œuvre des agriculteurs et éleveurs ayant vécu dans cette région durant cette phase du Néolithique. Ils sont parmi les tout premiers monuments du continent. S'ils semblent défier l'éternité, l'état dans lequel ils sont parvenus jusqu'à nous est souvent très éloigné de leur apparence d'origine.
Les grandes dalles assemblées des dolmens représentent les squelettes de tombeaux souvent très élaborés, théâtres de cérémonies funéraires, de vénération ou d'autres pratiques complexes et parfois encore mal identifiées. Un grand nombre de pierres levées, menhirs et stèles aujourd'hui isolés, ne sont que les restes de dispositifs beaucoup plus vastes à la signification encore incertaine.
Les géobiologistes auraient relevé des phénomènes électromagnétiques sous les ouvrages mégalithiques, ainsi que des croisements de courants d’eau, et des failles.
Sur la carte d’état-major, Taconnas a été transformé en « bois de Taconan ». Au sud-est de Saint-Laurent-de-Vaux se cache un grand accident de roches chaotiques où l’homme a laissé, dans un lieu plein de grandeur, des traces inaltérables.
Les rochers se composent de quatre groupes échelonnés sur la pente nord de la montagne. La plus grande comporte de petits bassins avec saignée creusée au sommet.
En dessous, d’autres roches semblent rapportées et arrangées de main d’homme. Une sorte de table, détachée par éclatement, est penchée à 45° formant un « abri sous roche » ou « dolmen incliné », laissant apparaître un triangle visant le soleil levant.
Sur un petit dôme, rappelant un autel, on peut voir une cuvette de grande dimension, très bien formée, contenant toujours de l’eau. Plus bas, en descendant en direction de Saint-Laurent-de-Vaux, une pierre calée.
Les rochers se composent de quatre groupes échelonnés sur la pente nord de la montagne. La plus grande comporte de petits bassins avec saignée creusée au sommet.
En dessous, d’autres roches semblent rapportées et arrangées de main d’homme. Une sorte de table, détachée par éclatement, est penchée à 45° formant un « abri sous roche » ou « dolmen incliné », laissant apparaître un triangle visant le soleil levant.
Sur un petit dôme, rappelant un autel, on peut voir une cuvette de grande dimension, très bien formée, contenant toujours de l’eau. Plus bas, en descendant en direction de Saint-Laurent-de-Vaux, une pierre calée.
- LE CRÊT DE PIRALURON
* « Piraluron » ne figure pas sur la carte IGN, mais il est indiqué sur la carte « Les Vallons du Lyonnais » du département du Rhône.
- DOLMEN DE LA "ROCHE DES FÉES" ET CUPULE DANS LE "BOIS DES FAIX"
Ce remarquable ouvrage de l’époque néolithique est une allée couverte, effondrée dans sa moitié. Sur la colossale table inclinée, une grande cuvette a été creusée par éclatement : une cupule. Le chemin qui monte à Yzeron par Châteauvieux passe au nord. La tradition légendaire fait passer ce dolmen pour avoir servi autrefois aux sacrifices des druides.
Les géobiologistes ont constaté des courants d’eaux, des failles et des magnétiques sous les mégalithes.
Un lieu comparable à celui-ci, également nommé « le rocher des Fées » est répertorié dans la Barre des Cévennes en Lozère (Atlas archéologique du Parc National des Cévennes).
Quant à la « cupule », le rôle du support en granit et de son emplacement est primordial. Elle résulte d’un piquetage au pic d’une roche tenace (quartz) et d’une finition par un matériau abrasif.
- DOLMEN DE BIOJOLAIS
Site créé en partenariat avec Réseau des Communes